mercredi 28 mars 2007

Lavaltrie célèbre en double

[Don collection Miron]

La culture et le savoir se font la fête à Lavaltrie. La bibliothèque municipale souligne les dix ans de son arrivée dans ses nouveaux locaux tout en ouvrant les bras à l'arrivée de la Collection Miron. C'est un cadeau de plus de 200 volumes traitant de généalogie.

Les livres sont offerts par Marcel Miron, qui est originaire de Montréal. Ses ancêtres et ses enfants, par contre, ont vécu à Lavaltrie. … cette collection constitue un héritage sans prix, tant pour la communauté que pour les membres de la famille Miron», note-t-on.



De l'avant
Une section généalogie accueille les nombreux registres de mariages, de baptêmes et de sépultures en provenance de toutes les régions du Québec et même de l'Ontario.


Âgé de 83 ans, M. Miron les a accumulés lors des recherches que lui et son épouse (décédée en novembre 2005) ont effectuées depuis 1960. D'abord pour dessiner leur arbre généalogique. Ensuite pour alimenter leur passion de la généalogie.

Il s'agit d'un don extraordinaire qui enrichit les collections de la bibliothèque lavaltroise. Sous la direction de Brigitte Richer, celle-ci ne cesse d'aller de l'avant. Elle fournit un large éventail de volumes de toutes sortes en plus d'être un lieu de conférences et d'expositions.


«En 10 ans, je pense que la bibliothèque a bien vieilli», croit Mme Richer. L'immeuble est bien servi par l'architecture qui est l'œuvre du Lanorois Didier Poirier.
«Une belle aventure comme celle-là ne se fait pas toute seule», ajoute-t-elle; mettant l'accent sur la qualité des bénévoles qui travaillent avec elle.
Mme Richer, du même coup, ne manque pas de mettre en lumière que des gens ont cru, d'abord, à l'arrivée du nouvel édifice et à la croissance de la bibliothèque. «Je remercie les élus qui ont été les premiers à y croire, qui ont su que la culture est très importante pour la population», affirme-t-elle.
La directrice de la bibliothèque possède toute la confiance des élus. Maire suppléant et responsable de la bibliothèque et de la culture avec sa collègue Jocelyne Vaillancourt, le conseiller Jean-Yves Pelletier note qu'elle est au nombre des personnes qui assurent le développement de la culture de façon dynamique.
Elle est de celles qui contribuent à l'essor de la culture de façon magistrale, qui réussissent à susciter l'intérêt des gens et à le faire grandir.


Du même souffle, il qualifie de cadeau inestimable le geste de Marcel Miron.
«Nous sommes donc à la fois intimidés de recevoir un tel cadeau mais combien reconnaissants de vous voir partager une telle richesse avec les citoyens de Lavaltrie qui veulent en connaître plus sur les origines», assure-t-il.

Les députés Alexandre Bourdeau et Guy André, eux aussi, soulignent la qualité de la collection et soulignent la générosité de M. Miron.Ils ne tarissent pas d'éloges, non plus, envers la qualité de la bibliothèque qui met des milliers de volumes à la disposition des Lavaltrois.

Photo: Marcel Miron est encadré de Brigitte Richer et Jean-Yves Pelletier. Les députés Alexandre Bourdeau et Guy André sont à l'arrière. Photo Pierre Bellemare
Source: L'Écho d'Autray [Journalliste: Pierre Bellemare]

mardi 27 mars 2007

Cartes, cadastres et recensements

[Opinion]



Les historiens professionnels sont bien au fait de la richesse de la cartographie ancienne comme support à leurs travaux. Récemment, j’ai trouvé cette carte tracée par un résident de Repentigny né vers 1920. Il nous montre son village alors qu’il avait dix ans. Je cherchais justement un document de ce type. Il complète bien mon travail d’analyse du terrier de Repentigny.

Par ailleurs, en observant la carte de Murray, j’y voyais des ruisseaux à l’est de l’église, en 1761. Il m’est apparu que ce Monsieur Rivest est un des seuls encore capables de les localiser. J’attends un rendez-vous pour l’interroger à ce sujet.

De même, après avoir consulté le recensement canadien de 1901, pour Repentigny, où je m’intéressais particulièrement aux résidents des lots proches l’église, il m’est venu à l’idée qu’une personne de grand âge pouvait encore habiter le secteur. Coup de chance, j’ai trouvé une dame de 92 ans qui m’a donné de bons renseignements.

Tradition orale, iconographie populaire, ne négligeons pas ces sources.


Claude Ferland
Recherchiste



Source dessin: Carte produite par le gouverneur James Murray en 1761.



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samedi 24 mars 2007

Le long de nos chemins de mémoire

[Opinion]

Avec la popularité croissante des circuits patrimoniaux dans Lanaudière, on se prend à espérer
que notre patrimoine bâti soit mieux apprécié, et de là, mieux protégé.

En plus des lieux-phares de notre mémoire, comme la Maison Lacombe ou L’Oasis du Vieux Palais (bien sûr, vous savez où ils se trouvent, point besoin de mentionner leur localisation), il en est beaucoup d’autres qui attendent ou bien qu’on les découvre, ou bien qu’on les sauve de la dégradation ou de la destruction.

Voici deux exemples.

À St-Roch-de-L’Achigan, le vieux couvent occupe une place centrale au village; on le voit de loin quand on arrive depuis l’autre côté de la rivière. Quand vous approchez, vous ne voyez pas que sa masse imposante et son style agréable à l’œil, vous voyez aussi les panneaux d’aggloméré qui bouchent ses murs. Les gens du milieu cherchent à le sauver. Les propriétaires actuels ont-ils des plans compatibles avec la valeur patrimoniale de ce superbe bâtiment? Bien sur, il faut de gros sous pour remettre le couvent en état. Ce qui manque peut-être, c’est la volonté indéfectible de ne pas le laisser aller. Il faut chercher de nouvelles pistes? Pourquoi ne pas en faire une école de langues et donner des cours d’été aux jeunes américains ou ontariens ? Le reste du temps, les organismes locaux sauraient l’occuper.

Autre exemple : à Repentigny, au 509 Notre-Dame, une maison d’esprit français survit à l’ombre des bâtiments voisins. Faisant une recherche aux Archives Nationales récemment, je lisais dans l’inventaire de la communauté Déziel-Janot (1749), que le bâtiment est « une maison de pierre neuve couverte de planches planché (sic) haut et bas porte cloisons aussi neuves ». Elle date donc de la fin des années 1740. Y en a-t-il une plus vieille dans les maisons de pierre de la MRC L’Assomption? Or, le propriétaire (Restaurant L’As de Cœur) tarde à réparer son mur côté est qui se dégrade sérieusement; il a besoin d’appui (le propriétaire comme le mur….

Ceux et celles d’entre nous qui tiennent au patrimoine en font-ils assez ? Ne faudrait-il pas créer une Association du Patrimoine bâti dans notre région?



Claude Ferland
Recherchiste en histoire

samedi 17 mars 2007

Gens d’hier et lieux d’histoire: les négligés de la culture

[Opinion]


« L’histoire locale intéresse peu de gens. »

Cette phrase provocante, je l’avais entendu à quelques reprises de la bouche d’une personnalité pourtant très active dans la mise en valeur de la « petite histoire ». Avec le temps, malgré mon désaccord initial, j’ai fini par admettre que cette personne avait en partie raison.

Le public québécois est-il intéressé à la petite histoire, celle de ses familles, de ses paroisses, de ses anciens villages et des petites villes d’autrefois ? On peut difficilement répondre par la négative quant on le voit participer aux fêtes anniversaires de villages, ou quant il parcourt les circuits patrimoniaux de sa région. Nombreux sont les auditeurs d’émissions de télévision comme le Québec de Jean-Claude (canal Historia), les lecteurs de romans historiques, et encore plus nombreux ceux et celles qui travaillent à leur généalogie familiale; pour ces trois derniers exemples, on notera qu’il s’agit d’activités qui se réalisent souvent en solitaire, et nous y reviendrons plus loin.

En région, plusieurs sociétés d’histoire connaissent, ont connu ou craignent de connaître des difficultés au plan de la participation, autant celles des membres que celles du public, à leurs activités. Manque de ressources, rareté des bénévoles, absence de local adéquat, faible présence aux conférences, la liste est longue. Parc contre, quelques sociétés ont le vent dans les voiles, et souvent leur succès est dû en partie à des éléments rassembleurs; l’exemple de St-Roch-de-L’Achigan est à souligner à cet égard.

Pourtant, dans d’autres champs de la culture, des organisations bien rodées démontrent de francs succès. Prenons l’exemple de Lanaudière : son Festival de musique, son Musée d’Art de Joliette, le Théâtre Hector-Charland.à L’Assomption.

Trois éléments paraissent expliquer cette divergence entre l’histoire et les autres champs culturels :

1- La dynamique rassembleuse: c’est-à-dire lorsque des groupes de personnes sont mises en lien à la faveur de célébrations ou d’activités de groupe à teneur historique sur des thèmes d’intérêt commun.

2- Un leadership enthousiaste : des organisateurs motivés et soutenus par le contexte des activités à réaliser, dont l’attrait et la demande publique compense pour le prix du bénévolat à donner; à l’inverse, des programmes d’activités mal ciblés éloignent les bonnes candidatures au leadership.

3- Un modèle de gestion adapté à la société moderne : on trouve de moins en moins d’ « historiens missionnaires » qui se consacrent en solitaires ou en groupes fermés à l’administration des sociétés d’histoires performantes. La gestion de ces organismes doit aujourd’hui s’appuyer sur de le marketing, l’organisation des ressources humaines et la gestion financière.

Comment donc intéresser nos gens à l’histoire, s’il n’y a pas « fête au village »? Et s’il y en a une bientôt, où trouver les historiens locaux, et les bénévoles ? Comment créer une dynamique rassembleuse dans la continuité, au-delà des événements ponctuels à célébrer ? Comment dénicher les leaders capables de gérer les sociétés d’histoire?



Un concept à explorer : les ateliers d’histoire

Il va de soi que des peintres amateurs aiment aussi à visiter des musées ou des expositions de peinture. De même les praticiens de la musique iront volontiers aux concerts de festivals. La même approche ne pourrait-elle favoriser la dynamique des sociétés d’histoire? Ne faudrait-il pas initier plus de gens à la recherche, les réunir périodiquement pour les former, leur faire partager leurs découvertes, organiser des visites de musées en groupe?

Comme pour d’autres arts, la recherche en histoire s’apprend sans nécessairement passer par l’université. Elle se pratique comme loisir individuel, mais peut fort bien se pratiquer collectivement, et déboucher sur des projets collectifs.

De tels ateliers, bien ancrés dans leurs localités (car l’attachement à sa paroisse, son village, son quartier est un élément rassembleur) favoriseraient par ricochet la diffusion d’infor-mations historiques et la création de « produits » culturels en histoire. Et ce serait sans doute aussi une bonne source de bénévoles, dont ces leaders si rares dont il était question plus haut.

Qui d’autres que les directeurs municipaux de loisirs culturels pourraient le mieux évaluer les possibilités de ce concept?


Claude Ferland
Recherchiste en histoire



Peinture: Terrebonne peint le 26 Oct. 1810 (Heriot, George (1759-1839)
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Louis Riel amoureux d'une assomptionniste

[Fait historique]

Louis Riel, au début de la trentaine, encore célibataire est voué entièrement à l’émancipation de son peuple. Ardemment recherché par la police, il doit trouver refuge aux Etats-Unis. Là, des amis l’accueillent et surtout des Canadiens-français sympathiques à sa cause. Riel est reçu au presbytère de la paroisse Saint-Jean-Baptiste de Keeseville, petite communauté de Canadiens-français qui vivent de l’exploitation forestière dans l’état de New-York, près de la frontière américaine.

Le curé Fabien Barnabé manifeste beaucoup d’empressement à recevoir le jeune héros persécuté. L’abbé Barnabé est originaire de L’Assomption. Son père, Fabien Martin-Barnabé est forgeron. Il avait son atelier sur la rue Saint-Jacques, angle nord-est de la rue Saint-Joseph. Après des études au Collège de l’Assomption (18e cours), le fils est ordonné prêtre à Montréal, le 21 décembre 1861. Suite à quelques années de ministère dans le diocèse de Montréal, il est nommé en 1870 à la cure de la paroisse catholique de Keeseville.

À la mort de son père en décembre 1872, le curé Fabien Barnabé accueille sa mère et la benjamine de la famille, sa jeune sœur Marie-Élisabeth-Évélina, à son presbytère juste en face de l’église paroissiale. Évélina, blonde aux yeux bleus, gracieuse et toute menue, musicienne accomplie, touche l’orgue à la paroisse de son frère. La jeune femme enjouée de 23 ans s’éprend du jeune héros de l’Ouest.

Le bon curé Barnabé installe son illustre visiteur, Louis Riel, dans une grande chambre de coin, sise à l’étage, dont la véranda domine un énorme lilas. Riel vient d’avoir 32 ans, célibataire d’une prestance remarquée, cheveux épais et foncés, lissés vers l’arrière, la barbe bien taillée, impressionne la jeune fille qui vient de quitter le deuil de son père. Les amoureux se rencontrent souvent mais les sentiments qu’ils éprouvent l’un pour l’autre restent discrets.

Louis captivé par le sort réservé à sa nation au Manitoba parcourt le nord des États-Unis cherchant des alliés à sa cause. Il se croit bientôt investi par Dieu de la mission de sauver son peuple et son ardeur se transforme en délire religieux. C’est au sortir de l’Asile de Beauport en 1878 que Louis Riel reçoit encore l’hospitalité généreuse du curé Barnabé toujours à Keeseville. Son cœur n’a pas oublié Évélina et elle lui a réservé le sien.

« Ô bonne Évélina! Vous que je trouve aimable
Et pour qui je désire un sort vraiment heureux!
Si vous mangez souvent le pain très délectable;
Si vous aimez la sainte table;

Je demande au bon Dieu qu’il exauce mes vœux
En daignant nous unir, au plus tôt, tous les deux. »

La jeune femme séduite par tant de flamme n’hésite pas à dévoiler son attirance pour l’homme qui vient de sortir d’une si lourde épreuve.

« Vous êtes pour moi si aimable,
Que je vous suis inséparable. »

Mais la vie à Keeseville n’est pas facile. Le curé Fabien Barnabé fournit à Louis Riel un lopin de terre à cultiver pour subvenir à ses besoins. Mais il n’y avait pas fortune à faire avec ça. Riel prépare donc un projet d’invasion du Manitoba : cependant ses alliés irlandais refusent de collaborer. Il décide donc de partir pour l’Ouest. En novembre 1878, avant de quitter Keeseville, il se fiance en secret avec la gracieuse Évélina contre la volonté de madame Barnabé, Josephte Désilets, qui n’apprécie pas cette relation.

La distance et le temps vont atténuer la passion de Louis Riel pour Évélina. La vie le destine à un autre sort. Il lui consacre encore quelques mots d’amour auxquels Évélina répond avec empressement et nostalgie : « Souvent je vais m’asseoir sous les lilas, qui déjà se préparent à fleurir. J’ai hâte d’en cueillir une fleur afin de vous l’offrir. Je me reporte à ce temps où nous étions si heureux tous les deux assis sur le même banc. »

On rapporte même que la jeune femme a déposé dans son billet doux quelques fleurs séchées que Riel a conservé dans la poche intérieure de sa veste jusqu’à sa mort.

Louis prend bientôt la tête d’un soulèvement des Métis contre les autorités gouvernementales. Sa flamme pour Évélina n’est plus qu’un souvenir vague et agréable. Louis poursuit sa lutte contre les oppresseurs de son peuple. Il épouse une de ses compatriotes Marguerite Monet dit Bellehumeur le 27 avril 1881.

En 1885, Louis Riel se livre au tribunal qui le condamne à la pendaison pour trahison. Il monte sur l’échafaud le 16 novembre de la même année. Le curé Fabien Barnabé est emporté par la tuberculose à l’âge de 44 ans. Son corps est inhumé sous l’église de L’Assomption, le 12 avril 1883. Quant à Évélina, elle revient au Québec avec sa mère et se marie finalement quelques temps plus tard.


Source: Claude St-Jean
Photo: http://img.search.com/thumb/2/21/Louis_Riel.jpg/250px-Louis_Riel.jpg

Conférence sur l'histoire de St-Félix-de-Valois

[Conférence]

Les membres de la Société d'histoire de Joliette-De lanaudière vous invitent à la conférence mensuelle, le jeudi 22 mars à 19 h 30 à l'hôtel de ville de Joliette.

Conférencier : M. Richard Belleville, professeur à la retraite
Titre : L'histoire de Saint-Félix-de-Valois
Bienvenue à tous!

Gratuit pour les membres et de 3 $ pour les non-membres

Information : Claire L. St-Aubin , 450 756-8607


Photo: Coll. Alexandre Riopel

Exposition La ceinture fléchée, un symbole de taille

[Exposition]

Du 4 mars au 15 avril 2007, la Bibliothèque Christian-Roy vous présente l’exposition La ceinture fléchée, un symbole de taille.

France Hervieux, Assomptionniste, artisane du fléché et fière porteuse de cette tradition, a lié à cette exposition son amour pour l’histoire et le patrimoine. Elle nous présente des pièces traditionnelles, des pièces de collection et de nouvelles créations.

Venez rencontrer la femme et sa passion lors du vernissage qui aura lieu à la salle Michelle-Le Normand de la Bibliothèque Christian-Roy, le dimanche 4 mars, de 14h00 à 17h00. La Bibliothèque Christian-Roy est située au 375, rue Saint-Pierre à L’Assomption.


Source : Eve Lagacé, bibl. prof., Bibliothèque Christian-Roy, 450 589-5671 poste 237,
elagace@ville.lassomption.qc.ca

Photo: Coll. Musée McCord, M. William Hope, Montréal, QC, 1889, Wm. Notman & Son, 1889, 19e siècle, II-88902

mercredi 14 mars 2007

«Sur le Parvis»

[Exposition]


La Société d'histoire de Joliette-De Lanaudière vous invite à visiter l'exposition «Sur le parvis», à la bibliothèque municipale de St-Félix-de-Valois du 17 mars au 1er mai prochain. Cette exposition met en lumière les 7 églises rattachées au diocèse catholique de Joliette dont on a célébré le centenaire en 2004. À l'aide de photographies anciennes et récentes appuyées de documents d'archives, l'exposition relate les hauts faits de l'histoire de chacune de ces églises paroissiales et retrace les grands évènements qui ont marqué les 100 ans d'existence du diocèse de Joliette. Cette exposition a été réalisée par le Musée d'art de Joliette en collaboration avec la Société d'histoire de Joliette-De Laanaudière.


Source: L'expression, vol 14 mars 2007, p. 20
Photo: La première église de St-Jacques, Pinsonneault, ca 1908 (coll. Alexandre Riopel)

mardi 13 mars 2007

«Scène de vie de L'Assomption»

[Expositions, activités et services]

Le Centre régional d'archives de Lanaudière vous invite à visiter les expositions suivantes.

À partir du 2 mars 2007, au Café St-Jean situé au 295-A, boulevard de l’Ange-Gardien à L’Assomption, l’exposition suivante: « Scènes de vie de L’Assomption ».

Deux expositions dont une sur le « Sport dans Lanaudière » et une autre sur les « Contes et légendes de Lanaudière » seront également présentées du mois de mars à mai 2007 aux 4e et 5e étages du Centre régional d'archives de Lanaudière situé au 270, boulevard de l’Ange-Gardien à L’Assomption.

De plus, des circuits patrimoniaux dans la ville L’Assomption se dérouleront du 25 juin au 24 août 2007. Notez que les circuits se font sur réservation seulement, en dehors de cette période. Il y a la possibilité de jumeler au circuit choisi un dîner ou un souper ainsi qu’une pièce de théâtre avec la collaboration du ThéâtreHector-Charland. L’ajout de petits-à-côtés (expositions, conférences, etc.) est également possible.

Nous vous conseillons de visiter les sites internet suivant afin d'obtenir de plus amples informations :
www.archives-lanaudiere.com
www.hector-charland.com


Source: Mme Lucie Forest, secrétaire pour M. Denis Pepin Directeur général du Centre régional d'archives de Lanaudière
Photo: http://www.archives-lanaudiere.com/